jeudi 4 septembre 2014

je viens tout juste d'installer mon compte mail
le voila:



loukanthrope@gmail.com


comme ça vous pourrez me poser des questions ou me donner des idées d'autres animaux !

mercredi 3 septembre 2014

NOTE DE L'AUTEUR

Je suis désolé pour ce retard à mettre un nouvel animal fantastique bien que j'avais beaucoup d'idées.
Je viens de rentrer de vacances en France car j'habite en Turquie à Istanbul et je viens juste d'entrer
en secondair pour la première fois de ma vie et j'ai pas mal de boulot  dès le troisième jour de rentrée.

Pour me pardonner je vais installer un mail spécialement pour le blog, comme ça si vous avez des questions, des commentaires ou des idées d'animaux fantastiques.Je le mettrais en ligne dans quelques
jours.     AU REVOIR ET MERCI BEAUCOUP


ANNONIMEBLOG
LES  RHINOGRADES
RHINOGRADENTIA STÜMPFKII 

DES ANIMAUX QUI AVAIENT DU NEZ
La découverte des rhinogrades dans la seconde partie du XX siècle est un évènement
majeur dans l'histoire de la zoologie fantastique. Ces animaux  constituent une famille
de mammifères unique en son genre. Présente sur l'archipel des Aïe-Aïe-Aïe
(ou sur l'archipel des Hi-iay)
dans l'océan Pacifique, cette famille regroupe plus de deux cents espèces différentes dont
la caractéristique principale est liée au développement original du nez, appelé nasarium.
Hélas, ces animaux ont à peine eu le temps d'être étudiés. Lors d'une catastrophe,
l'archipel a disparu sous les eaux, noyant les chances de mieux connaître
cette grande famille d'animaux.

VOICI QUELQUES EXEMPLES :
               Les Nasins marcheurs

Le grand Nasobème, le "Honatata" des indigènes, est le plus connu de tous les Nasins. Il porte sur sa tête courte et grosse, quatre nez tous pareils et assez longs, sur lesquels il se déplace.
Les membres postérieurs sont très atrophiés (surtout chez l'adulte) alors que les membres antérieurs permettent à l'animal de se nourrir de fruit que sa longue queue en lasso va chercher en hauteur.
L'accouplement est long et s'accompagne de manifestations de tendresse très touchantes. Après la mise bas, la femelle est approvisionnée par le mâle.
Il s'agit du seul Nasin considéré comme sacré par les Huacha-Hatchis. Mais il est vrai que cet animal possède une particularité unique chez les Rhinogrades : il pleure lorsqu'on le capture !



Les Nasins marcheurs


   Le Nasobème
Nasobema lyricum

  
Nasobema lyricum

 

   Le Queue-Mielleux
La vie du Queue-Mielleux gris dorée(Dulcicauda griseaurella) est très sédentaire. Solidement enraciné sur son nez il est incapable de quitter l'emplacement qu'il avait choisi alors qu'il était jeune. Il vit dressé tout droit sur son nez d'où s'écoule une sécrétion rouge jaunâtre qui progressivement le soulève sur une sorte de piédestal assez long et en forme de colonne, la "sella".
Au voisinage de la griffe venimeuse de la queue se diffuse une glue très collante et à l'odeur fruitée qui attire les insectes. Ils s'y engluent et sont dévorés par le Nasin.
Ces animaux vivent sur les éboulis voisins des côtes marines. A ces colonies sont associés de petits crabes terrestres qui se nourrissent des déchets de repas et des fèces du Queue-Mielleux.







Les Nasins sauteurs

Vivant à même le sol, Hopsorrhinus, le "Nasin sauteur" compte parmi les Rhinogrades les plus communs. Il peuple toutes les plages de l'archipel.La pince qu'il possède au bout de la queue lui sert à capturer les petits crustacés dont il se nourrit.Le nez s'est transformé en un puissant organe sauteur. Le bond peut atteindre plus de dix fois la longueur de l'animal.Vivant en meute, il semble que les mâles les plus vigoureux se constituent de petits harems et éliminent les mâles les plus faibles.
 Le Saltonase
Hopsorrhinus aureus, dit  le Saltonase
Hopsorrhinus aureus
Le curieux déplacement en arrière du Saltonase
Le saut en arrière du Saltonase



    L'Oreille-Volant
L'Oreille-Volant (Otopteryx volitans) est allé plus loin encore dans le saut ... Il vole !
Propulsé par les battements rapides de ses oreilles, il file telle une flèche, au ras des prairies fleuries, pour y chasser les Libellules.
Comme les bonds des Hopsorrhines sauteurs, il vole en arrière, se servant de son nez pour atterrir et décoller.
Ce vol ne s'élève jamais à plus de 20 mètres.
L'éclat irisé du pelage lui donne la luminosité des métaux polis ou des gemmes étincelantes, ainsi de nombreuses tentatives de captivité ont échoué : le petit animal, très craintif, sautille sans arrêt et se cogne la queue pour finalement mourir des infections résultant de ses blessures.



Les Nasins guetteurs




Le Polynase (Eledonopsis suavi) vit dans de petits terriers, sous les pierres ou les racines. Le jour, il dort roulé en boule et ne manifeste aucune tendance à fuir, mais le soir venu, sous la faible lumière de la Lune, 4 à 6 formations rubanées sortent du terriers. Ces rubans, pouvant atteindre 30 cm, sont en fait le nez de l'animal, et servent d'appâts collants pour une multitude d'insectes qui composeront son repas.
Pendant longtemps le phénomène résista à une observation précise. Dès qu'on essayait d'éclairer l'animal avec une lampe électrique, les rubans se rétractaient.
Les jeunes deviennent précocement indépendants, et s'installent dans un autre terrier proche de celui de la mère. Cet animal, relativement sédentaire, peut rester très longtemps dans le même terrier.




    Le Polynase
Eledonopsis suavis, dit  le Polynase

Eledonopsis suavis
Le           Corbulonase
Les plus surprenants des Nasins sont lesCorbulonases. Debouts sur leur queue rigide pouvant se dresser jusqu'à 50 cm, les nez étalés en forme de fleur, ils attendent qu'un insecte volant, attiré par l'odeur de petit-lait qui émane de leurs bouches ouvertes, se pose sur le rutilant appât. Immédiatement, ils rabattent tous leurs nez les uns sur les autres, et attirent l'insecte vers leur bouche, où il sera tranquillement dévoré.
L'accouplement se fait sous l'influence du vent et trois semaines plus tard le nouveau-nez tombe à terre et grimpe sur la tige d'une fleur voisine. Arrivés au sommet, il coupe la fleur avec ses dents et épanouit son nasarium. Ainsi commence sa vie de petit guetteur. Sous l'effet d'un allongement des vertèbres caudales et d'une ossification des cartilages, sa queue s'allonge, se rigidifie et s'enfonce dans le sol terreux. Il peut maintenant tenir tout seul et lâcher son tuteur.
La longévité de cet adorable petit animal n'est que de 8 mois.

Corbulnasus longicauda
Corbulonasus longicauda

Otopteryx volitans, dit : l'Oreille-Volant


Otopteryx volitan


Dulcicauda griseaurella, dit  le Queue-Mielleux


Dulcicauda griseaurella